Les sociétés humaines construisent depuis toujours des espaces en fonction de leurs besoins présents, en ayant une vision à plus ou moins long terme. Mais que fait-on quand ces aménagements deviennent obsolètes et ne sont plus d’aucune utilité?
Une grande partie de mon travail photographique est orientée vers la relation être humain-nature-temps. J’essaie de montrer comment, par sa présence, l’être humain modifie et utilise l’espace pour ensuite l’abandonner, laissant souvent à la nature le soin d’en effacer les traces. Il en résulte des séries d’images pouvant être perçues comme des prises de position mais qui sont à coup sûr des constats.
Travaillant surtout en noir et blanc et en moyen et grand format, ma pratique s’inscrit dans mon quotidien, qui n’est guère différent de celui des gens avec qui je partage l’espace environnant.
Une grande partie de mon travail photographique est orientée vers la relation être humain-nature-temps. J’essaie de montrer comment, par sa présence, l’être humain modifie et utilise l’espace pour ensuite l’abandonner, laissant souvent à la nature le soin d’en effacer les traces. Il en résulte des séries d’images pouvant être perçues comme des prises de position mais qui sont à coup sûr des constats.
Travaillant surtout en noir et blanc et en moyen et grand format, ma pratique s’inscrit dans mon quotidien, qui n’est guère différent de celui des gens avec qui je partage l’espace environnant.